Le Laboratoire Cerba, avec plus de 600 personnes et plus de 150 M€ de CA, s'impose comme le leader européen de la Biologie Médicale Spécialisée.
Les valeurs du Laboratoire Cerba sont fondées sur :
Ces valeurs illustrent la volonté de se positionner dans une perspective moderne et humaine de la biologie médicale. Il s’inscrit dans une démarche positive en faveur du développement d’une biologie tournée vers l’avenir.
Elles sont relayées par des valeurs humaines :
« Les valeurs des hommes en cohérence avec celles du laboratoire »
Fort de cette conviction, depuis 2006, le laboratoire a signé la Charte de la Diversité. Il place au cœur de sa politique de gestion des ressources humaines la diversité comme facteur de développement et de performance.
Anne Lemarié, cytotechnicienne : « un métier utile et minutieux »
Derrière chaque frottis, il y a des cytotechnicien(n)es qui examinent un prélèvement au microscope en vue de détecter des anomalies précancéreuses. Rencontre avec Anne Lemarié, cytotechnicienne au sein du Laboratoire Cerba depuis bientôt 25 ans.
« La satisfaction de faire un travail de qualité et se dire que, grâce à cela, des femmes vont pouvoir éviter un cancer du col de l’utérus »,
répond Anne Lemarié quand on lui demande ce qu’elle aime particulièrement dans son métier de cytotechnicienne au sein du Laboratoire Cerba.
Quand elle a choisi cette voie il y a 28 ans après un IUT d’analyses biologiques et biochimiques, c’est avant tout le côté technique et manuel qui l’intéressait. « La cytologie s’est automatisée depuis, surtout pour la partie technique de préparation des lames, mais le regard humain reste prépondérant pour la lecture de ces dernières », souligne-t-elle.
Aujourd’hui, elle lit en moyenne 110 lames par jour. « J’assure la première lecture de ces lames, à la recherche de cellules atypiques ou douteuses.
Quand il y en a, je propose un diagnostic et transmets la lame au médecin anatomo-cytopathologiste, qui posera le diagnostic final », détaille Anne Lemarié.
Être cytotechnicien, c’est aussi se former et s’adapter aux évolutions du métier.
« Bousculer son quotidien et acquérir de nouvelles façons de travailler, ça ne me dérange pas, au contraire ! Même s’il a fallu apprendre à faire confiance à la technologie, reconnaît Anne Lemarié.
Mais les résultats sont là : avec le système de prélecture qui sélectionne 22 champs à revoir, nous avons un travail plus intéressant et notre taux de détection des lésions a augmenté. »
Aujourd’hui, le Laboratoire Cerba compte 22 cytotechniciens.
Angélique, Agent de réception